A titre indicatif, nous mentionnerons ici les usines qui existaient encore en 1811 :
Senningen I (Famille Bourgeois). Senningen II (famille Tambouring- usine fondée en 1809). Oberrennen (Weydert-usine fondée 1755-11- 26). Fischbach (famille Collard puis Mersch). Wiltz (Vve Pierre Simon). Lintgen (Faber). Donnelding (famille Krips puis les héritiers de Mathieu Lamoureux, le 1755-11-26). Mühlenbach I (Schmitt-Bruck – anciens Jésuites). Mühlenbach II (Vve Pescatore). Leverlange (Michou). Saint- Léger (Piccard). Stockem (Piccard). Il faut y ajouter la papeterie de Manternach qui cessa ses activités en 1919. Elle fut la dernière fabrique de papier du Luxembourg. Les autres entreprises disparurent, incapables de résister à la concurrence étrangère qui utilisait des procédés modernes et surtout impuissante devant l’essor spectaculaire de l’industrie du fer qui absorbe capitaux et main-d’œuvre.
Referenties
E. Becker, 1950. – La Fabrication du Papier in Les Cahiers Luxembourgeois
E. Friedrich, 1980. – « Mühlenbach-Société Sportive La Pédale », 75ème anniversaire 1905-1980.
M. Gachard. – « Commission Belge de l’Exposition de Londres 1873 » Archives Générales du Royaume- cote Mss 2771-2777 bis.
F. Schloesser, 1980. – Wiltzer Industrien die es einmel gab in Luxemburger Wort n° 295.
E. Van de Vekene, 1956. – Papiermühlen in Luxemburg (1689-1919) in Gutenberg-Jahrbuch.
P. C. Die entwicklung der heimischen Papierindustrie in Luxemburger Wort du 1942-11-20.
J. H. Pourrait-on ressusciter la papeterie? in La Meuse-Luxembourg du 1945-12-13.
Afb. 1.
Afb.2.